Calendrier : Gianmarco

Basé sur les thèmes de l’environnement et de l’écologie, nous avons entamé pour l’édition 2021 une collaboration avec 12 illustrateurs. Découvrez davantage sur nos 12 artistes ainsi que sur leurs motifs et idées ! Le mois de février est celui de Gianmarco.

Qui est Gianmarco ?

Gianmarco, également connu sous le nom de Jean-Marc Liacy, est un illustrateur et graphic designer né à Metz au siècle dernier. Il évolue au Luxembourg depuis l’an 2000 – 16 années passées en agence de communications, puis il décide de devenir freelance pour retrouver le plaisir de la pratique artistique et pour nouer de vraies relations humaines avec ses clients. Gianmarco a eu la chance de participer à des expositions collectives (Open End Festival, Siren’s Call) et de collaborer depuis plus de 4 ans avec plusieurs musiciens luxembourgeois dans la création de leurs artworks (CD, vinyles). Il accompagne régulièrement des ONG, des institutions liées à l’entrepreneuriat et à la microfinance. Son univers et style sont très personnels, mélangeant improvisation, humour, folie et liberté technique, hors des conventions.

Quelques mots sur l’illustration…

« L’idée de cette illustration est une combinaison de références liées au mois de février, à la fois astrologiques et culturelles – le signe des poissons et le carnaval, événement populaire et traditionnel du mois. Ces références sont associées dans une réflexion écologique et environnementale sur l’impact que nous pouvons avoir sur la nature et plus particulièrement sur la faune des mers et des océans. Ces deux poissons sont représentés déguisés de déchets communs (masques, gants, filets de pêche), ils sont entourés de confettis de microparticules de plastiques, et d’objets produits par l’Homme qui finissent malheureusement dans les écosystèmes aquatiques.

Ces déchets non-valorisés et non-recyclés par un tri et des attitudes responsables, sont un réel danger et une menace pour la diversité des espèces animales. C’est une illustration qui par un certain cynisme décrit une triste réalité et invite à voir différemment notre empreinte négative sur le monde animal, et à fournir plus d’efforts collectifs pour la limiter au maximum. »

 

 

 

 

 

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